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quatre anges porteurs du trone art islamique

NOTES

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1. Coran, 40, 7 et 69, 17, ainsi que 35, 75. La dernière citation est un hadîth prophétique.

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2. « Dans la Divine Comédie, Adam dit que le premier Nom de Dieu fut I, le Nom qui vint ensuite étant El », Aperçus sur l’ésotérisme chrétien, ch. 5 et 7, La Grande Triade, ch. 25, et Symboles fondamentaux, ch. 17 et 62.

 

3. Ma‘bad Allâh, selon un hadîth transmis par ‘Alî ibn Hussayn, rapporté dans le traité de Suyûtî, Al-habâ’ik fi akhbâr al-malâ’ikah, (Les tresses étoilées des informations sur les Anges, Beyrouth, 1980). Ce livre, qui est une compilation de hadîth-s sur l’angélologie islamique, nous servira de référence principale dans notre étude. Nous aurons recours à d’autres traités du même auteur, spécialement consacrés aux états posthumes, mais contenant dans leur partie initiale des informations complémentaires du même ordre : Les subtilités relatives aux informations sur la mention du Paradis et de l’Enfer (Raqâ’iq al-akhbâr fî dhikr al-jannat wa-n-nâr), et Le Traité des perles sublimes sur la Résurrection et les délices des Paradis (Kitâb ad-Durar al-hisân fi-l-ba‘th wa na‘îm al-jinân) ; ces deux écrits, quasiment identiques avec quelques variantes, sont édités dans le même livre (Beyrouth, 1984, et Le Caire, 1993). Il existe une importante littérature sur les anges en Islam dont nous ne pouvons faire ici la nomenclature exhaustive, et nous nous limiterons à ces traités thématiques de Suyutî, et plus loin de Qurtubî, qui ont l’avantage de proposer des références prophétiques précises, tout en garantissant des chaînes de transmission authentiques.

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4. M. Vâlsan, « L’investiture du Cheikh al-Akbar au Centre Suprême », É.T., n° 311, n. 2, et Kitâb al-Içtilâhât (n° 148), d’après la traduction commentée d’Ahmad Vâlsan.

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5. Fut. 73, II, 130, q. 153. Sur le terme ill (ou all), qui comporte entre autres le sens de Divinité ou de Fonction divine (Ulûhiyyah), cf. Fut. ch. 389, III, 543 ; 33, I, 212, ainsi que 35, I, 218 (Cahiers de l’Unité n° 18, n. 41).

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6. R. Guénon a également relevé que la signification étymologique du mot ange en hébreu (maleak) et en grec (aggalos) était identique (Symboles fondamentaux, ch. 62).

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7. Fut. 361, III, 294, et Halte 248, ch. 6, 9 et 10. Sur les Muhayyamûn, cf. infra ; voir également Ê»Uqlat al-mustawfîz, ch. 3, traduction, commentaire et références de M. Giraud (Albouraq 2018).

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8. Muwakkilât et Mudabbirât, mentionnés également dans le Coran, 79, 5.

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9. Muqassimât, Coran, 51, 4.

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10. D’après les hadîth-s relevés par Suyutî, Akhbâr al-malâ’ikah.

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11. Cf. L’Angélologie juive à l’époque néo-testamentaire, L. Hackspill, Revue Biblique, vol. 11, n° 4 (Peeters Publishers, 1902), L’Angélologie Juive au temps de Jésus-Christ, J.-B. Frey, Revue des Sciences philosophiques et théologiques, vol. 5, n° 1 (Vrin 1911), ainsi que l’article complémentaire de M. Simon, « Remarques sur l’angélolâtrie juive au début de l’ère chrétienne » (CR de l’Académie des Belles-Lettres, 1971). Les deux premières études proposent dans leur introduction une analyse pertinente expliquant l’importance progressive et le développement conséquent accordés à la « doctrine des Anges » dans la tradition juive. Cette évolution est interprétée comme le signe d’une adaptation cyclique, qui se justifie sous un certain rapport dans le milieu de la « dévotion populaire », en tant qu’« expression de la causalité divine dans le monde » ; elle reste toutefois liée à un affaiblissement, sinon une dégénérescence de la perception originelle du pur monothéisme, dans lequel « les relations directes entre Iahweh et son peuple », toujours bien comprises par l’élite ésotérique de la « Synagogue orthodoxe », ne donnait à la conception des « intermédiaires célestes » qu’une importance relative. Cette tendance, apparemment inhérente à l’âme sémitique, s’est d’ailleurs manifestée dès l’origine du Judaïsme, comme le rappelle l’épisode du « Veau d’or », où le Samaritain utilise la trace de l’Ange pour fabriquer l’« idole » (Coran, 85-96), mais aussi les divers évènements de la lutte continuelle des prophètes bibliques contre cette tendance idolâtre du « peuple élu ».

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12. La Hiérarchie céleste, ch. 7. trad. M. de Gandillac, Éditions du Cerf, 1958. Cette hiérarchie est organisée en 9 catégories et répartie en 3 degrés : les Séraphins, les Chérubins et les Trônes ; les Dominations, les Vertus et les Puissances ; les Principautés, les Archanges et les Anges. Cf. également Thomas d’Aquin, Somme théologique, 1re partie, q. 50 à 66.

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13. Paradis, chant 28. R. Guénon fait aussi allusion à cette « ronde céleste » dans L’ésotérisme de Dante, ch. 3.

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14. Ê»Uqlat al-mustawfîz, ch. 11 sur la création de ce monde. Voir aussi Fut. ch. 13, 198 et 371, s. 9, ainsi que la Halte 248, ch. 10.

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15. Symboles fondamentaux, ch. 62.

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16. ...

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