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André Savoret
dans les écrits de René Guénon

Les néo druides André Savoret.png

Les néo-druides en Velay, juillet 1936. 

André Savoret est le premier à partir de la droite.

(Cf. Thibault Sauzaret, « 1936 : des druides à Saint-Julien-Chapteuil », Cahiers de la Haute-Loire, 2022)

        D’évidence, à part peut-être sa brochure sur L’Inversion psychanalytique (1939), les écrits d’André Savoret sont sans intérêt. Au regard de leur inconsistance doctrinale, voire de leur niaiserie, on aurait pu penser qu’ils tomberaient dans l’oubli et qu’il n’y aurait jamais à y revenir. Pourtant, il y a plusieurs années, à notre grand étonnement, nous avons rencontré à Paris quelqu’un qui y attachait une grande importance. Nous nous sommes aperçus ensuite que ce libraire occultiste qui en faisait l’éloge auprès de ses meilleurs clients, sur le ton de la confidence pour en souligner la valeur, n’était pas un cas tout à fait isolé. Il y a même d’ailleurs encore sur l’internet un vidéogramme qui lui est consacré, et quelques-uns de ses livres sont régulièrement réédités. Il faut dire que cette imposture ridicule qu’est le Martinisme papusien a toujours des représentants qui continuent de sévir en faisant la promotion des occultistes d’autrefois. Certes...      

L’intégralité de cet article est exclusivement réservée à nos abonnés ou aux acheteurs du numéro 36 des Cahiers de l’Unité

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