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NOTES

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1. On peut aussi traduire par : « Il sera soufflé », pour mieux rendre le passif impersonnel dans lequel l’agent est ignoré.

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2. Coran, 39, 68. Il y a dix versets coraniques sur le Cor qui seront donnés en annexe.

 

3. Notre traduction du terme çûr par « cor » nous semble justifiée par la ressemblance sémantique entre les deux mots, mais on pourrait tout aussi bien, comme d’autres auteurs, le rendre par « trompe » ; nous emploierons parfois les deux mots indifféremment, en privilégiant toutefois conventionnellement le second pour traduire l’autre terme coranique naqûr. Il y a encore deux autres mots qui sont utilisés dans ce contexte,  mais qui relèvent du hadîth : qarn, corne, dont on peut aussi relever la similitude phonétique avec le français : « Le Cor est une corne (qarn) de Lumière » ; bûq, de sens identique : « Le Souffle est comme le son de la corne (çawt al-bûq) ». Dans tous les cas, tous ces termes évoquent l’idée d’un instrument “à vent” primordial plus ou moins long, de forme conique, servant à prolonger et amplifier, entre son embouchure et son pavillon, le souffle de celui qui l’utilise, et à le transformer en un son uniforme par résonance ou vibration.

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4. Ceci ne signifie pas non plus qu’il soit absent de certaines autres traditions, car cet instrument universel est aussi très utilisé en Orient, notamment dans le rituel du Bouddhisme tibétain, dans la tradition chinoise, ou encore dans l’hindouisme, comme il sera rappelé infra au sujet de la conque.

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5. Josué, 6, 8 ; Psaumes 47, 5-6, et 150, 3. Le Shofar est fait d’une corne de bélier ou d’antilope. Il est utilisé à la fin de l’office du matin, du dimanche au vendredi inclus durant le mois d’Elul et lors des fêtes de Roch Hachana (Nouvelle année) et de Yom Kippour (Jour du Grand Pardon commémorant l’entrée du Grand Prêtre dans le Saint des Saints du Temple).

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6. Ézéchiel, 33, 3-6 ; Osée, 8, 1 ; Jérémie, 4, 19...

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7. Jérémie, 4, 5.

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8. Isaïe, 27, 13.

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9. Zacharie, 9, 14.

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10. Matthieu 24, 31 ; 1 Corinthiens 15, 52, 1 Thessaloniciens 4, 16. – Dans l’Apocalypse (1, 10), Saint Jean affirme « Je fus ravi en esprit au jour du Seigneur, et j’entendis derrière moi une voix forte, comme le son d’une trompe ».

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11. Bet ha-Midrash, « Les Signes du Messie », traduit de l’hébreu par A. Jellinek, II, p. xxii-xxiii, Leipzig, 1853. Dans ce même texte, il est précisé aussi que « Michaël se tiendra et sonnera trois fois dans le shofar », et qu’« À cause de ce même son, tomberont sur les nations du monde crainte et tremblement, et des maladies mauvaises arriveront sur eux. Et Israël se décidera à sortir et le Messie fils de David viendra, ainsi qu’Élie le prophète avec les justes qui reviendront du désert de Juda et avec tout Israël qui se rassemblera... »

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12. Il n’est pas non plus possible ici de mentionner les très nombreuses références de ces ouvrages, et nous n’indiquerons que celles qui nous ont directement servi dans cette étude en regard des textes cités.

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13. On notera que R. Guénon avait signalé qu’« Il pourrait être intéressant d’établir la concordance de cette description symbolique [du Vedântâ] avec celles qui sont données par d’autres doctrines traditionnelles (cf. notamment le Livre des Morts des anciens Égyptiens et la Pistis Sophia des Gnostiques alexandrins, ainsi que le Bardo-Thödol thibétain) », dans L’Homme et son devenir, ch. 21, p. 170, n. 3.

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14. Cf. notamment Les Cahiers de l’Unité n° 20, 2020.

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15. ...

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