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NOTES

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1. La station céleste d’Isrâfîl lors de cet évènement se trouve auprès du Trône, où se situe le point initial du Souffle, mais d’autres traditions font mention de sa station terrestre correspondante sur le Rocher sacré de Jérusalem. Qurtubî informe par exemple que Wahb al-Munabbih, en commentant le verset {Et écoute bien lorsque l’annonciateur appellera d’un lieu proche} (Coran, 50, 41), a rapporté un hadîth indiquant que « Le Très-Haut a dit au Rocher de Jérusalem : “Je mettrai sur toi Mon Trône et rassemblerai sur toi mes créatures” ». Qatâda précise dans le même sens que «al’annonciateur est l’Ange au Cor qui se tient debout sur le rocher de Jérusalema».

2. Suyûtî, Akhbâr al-malâ’ikah, rapporté par al-Hâkim, Ahmed et Timîdhî, d’après Abû Hurayrah.

 

3. Cf. Coran 21, 20, 39, 75 et 40, 7 et 41, 38.

4. Fut. 167, II, 282. La suite du texte indique que cette musique céleste est l’archétype spirituel des séances de concert spirituel (majâlis as-sama‘), comme on verra ci-dessous que les louanges angéliques sont celui du dhikr. Les Pythagoriciens et les Platoniciens avaient eux aussi une certaine conception de l’« harmonie des sphères célestes », comme l’a rappelé R. Guénon dans L’Ésotérisme de Dante (ch. 2).

5. Suyûtî, Raqâ’iq al-akhbâr et Durar al-hisân.

6. Suyûtî, Akhbâr al-malâ’ikah, d’après Khâlid ibn Sa‘îd et Abû Cheikh.

7. ...

 

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