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Arche Royale symboles maçonniques

NOTES

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1. « The Editor wishes to thank Abdul Wahia (sic !) Yahya for the answers he has sent to the questions in this column, and would be grateful if he would send his address, so that a complimentary copy of this magazine could be forwarded to him. »

 

2. 1866-1954. Sur son adhésion à la Société Théosophique de 1893 à 1924, son parcours dans la Maçonnerie, dans laquelle elle est entrée en 1904, et est devenue 33e du Rite Écossais Ancien et Accepté en 1914, tout en étant membre en 1910 de l’Ordre des Opératifs, au sein duquel elle parviendra au VIIe et dernier degré, et sur The Co-Mason, revue trimestrielle qu’elle fondera en 1909, et qui prendra le nom de The Speculative Mason en 1925, cf. Encyclopédie de la Franc-Maçonnerie (en ligne).

 

3. C’est-à-dire : John Lloyd. Dans l’article précité de l’Encyclopédie, il est dit qu’on lui proposa d’entrer dans l’Ordre des Opératifs « exclusivement masculin parce qu’elle dirigeait la revue The Speculative Mason [à l’époque : The Co-Mason] et qu’elle signait ses articles “John Lloyd”, pensant que seul un homme pouvait diriger une telle revue. Stretton la fit quand même initier » ! À propos de cette adhésion, René Guénon écrivit « que la S.·. Bothwell-Gosse a assuré posséder le VII° opératif », ce qui lui fit « penser qu’il devait y avoir là encore quelque organisation dissidente admettant des femmes » (lettre du 4 juin 1950). Sur « René Guénon et la Maçonnerie opérative », Stretton, Yarker et le Speculative Mason, cf. l’étude très documentée de M. Laurent Guyot, Cahiers de l’Unité, depuis le n° 2.

 

4. Il transcrit  aussi son nom : « Prof. Abdel-Wahed Yahya » (lettre du 5 août 1936), « Sheikh Abdel-Wâhed Yahya » (lettres des 16 et 18 août 1950).

 

5. Quand René Guénon utilise lui-même ces initiales, c’est dans sa correspondance, par simple commodité : par exemple, lorsque la question de la vente de ses biens immobiliers situés en France se posa, il craignit d’éventuelles complications « si on exigeait quelques formalités pour ma signature […] ; c’est que le nom d’A.W.Y. est naturellement le seul qui ait un caractère officiel, celui de R.G. n’étant en somme considéré que comme un simple “nom de plume”, comme disent les Anglais, ce que du reste il était déjà en fait depuis que je suis ici, puisqu’il n’est pas celui qui figure sur les actes de l’état civil égyptien » (lettre du 8 mars 1950). Et au sujet de son adresse au Caire, il précisa qu’« Il ne faut mettre que le nom d’A.W.Y., qui est du reste le seul officiel, celui de R.G. y étant tout à fait inconnu » (lettre du 18 août 1950). Est-il besoin d’ajouter que ni « A.W.Y. » ni « R.G. » ne sont, stricto sensu, des « noms » ?

 

6. Dans le numéro d’avril 1935, dans lequel parurent les deux premières réponses d’Abdul Wahid Yahya, elle publia un article intitulé : « The Plan of the Work », dont Guénon rendit compte dans Le Voile d’Isis de juillet 1935, signalant que dans ce texte, « Le Plan de l’Œuvre » est mis « en relation avec l’installation des officiers d’une Loge ». Elle était alors 32e (cf. la table des matières de ce n° d’avril).

 

7. « Connais-toi toi-même » en mai, « Influence de la civilisation islamique en Occident » en juin, « Le néo-spiritualisme et son erreur » en juillet, « Le néo-spiritualisme. Réponse à une critique » en septembre, et « Les influences errantes » en novembre. Ces cinq articles traduits sont repris dans Un soufi d’Occident, d’‘Abd-al-Halîm Mahmûd, Gebo/Albouraq, 2007. On notera toutefois qu’il existe des variantes entre les diverses traductions françaises autorisées par Guénon, publiées ou inédites.

 

8. M. H. Chadli, « Cheikh Salâma Râdî », La Règle d’Abraham, n° 25, juin 2008, p. 54. Les références données dans la première phrase de la note précédente proviennent du même article (p. 54, n. 2).

 

9. La Crise du Monde moderne, ch. IV.

 

10. Le Théosophisme (1921), ch. XXV ; il « mourut en 1913 » (Ibid.). 

 

11. Écrit d’ailleurs : « The Speculative Freemason ».

 

12. « Des Centres initiatiques » en janvier, et « Initiation et contre-initiation » en février.

 

13. Le Voile d’Isis, mai 1932.

 

14. Ibid., décembre 1932, note pp. 795-796.

 

15. Initialement publié dans Le Voile d’Isis d’octobre 1935.

 

16. Paru dans les Études Traditionnelles, mai, juin et juillet 1936.

 

17. Cf. le compte rendu de décembre 1945 concernant les nos de juillet et octobre 1940, puis les huit numéros de 1941 et de 1942.

 

18. Dans son Encyclopædia of Freemasonry, Mackey affirme que, pour Ragon, Heredom « est dérivé du terme latin médiéval hœredum, qui signifie héritage » (s.v. Heredom). Or, Ragon écrit textuellement : « Le mot Hérédom (signifiant hœredum) servait à désigner le château de Saint-Germain [-en-Laye] » où vivait le prince Charles Edward Stuart (Orthodoxie Maçonnique, p. 91, Paris, 1853).

 

19. I Colmkill, litt. : I-colm-kill, l’Île de saint Colm, une île occidentale d’Écosse.

 

20. « From the Master’s Chair », « De la part du Vénérable Maître en Chaire » (p. 75).

 

21. Dans le tome II des Études sur la Franc-Maçonnerie, la date de publication de cet article : « octobre 1947 », est erronée.

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22. Cf. le compte rendu de Guénon dans les Études Traditionnelles de décembre 1949. D’autre part, on se souviendra que, dans Le Symbolisme, plusieurs articles furent signés : « La Lettre G » ; leur auteur était « F. Ménard ; ce devait être une sorte de signature collective, mais, en fait, il n’y a jamais eu que lui qui s’en soit servi jusqu’ici » (lettre du 6 mars 1950).

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23. « Stands for God », dans les rituels anglais, peut être traduit par : “est mise pour Dieu”, “signifie”, “représente”, “veut dire”, etc.

 

24. « Does the letter “G” stand for God? », « “G” and Geometry in 18th century », « Greek the Gamma the key to a Conundrum », « “G” and Pole Star in Operative Masonry ».

 

25. Études Traditionnelles, janv.-fév. 1950.

 

26. Ch. XVII des Symboles fondamentaux.

 

27. Extrait d’une lettre non datée (septembre 1948, semble-t-il), reproduite en fac-similé dans Présence de René Guénon, Vol. II, « Annexes », 1993.

 

28. Sur la question de la “lettre G”, cf. Denys Roman, « René Guénon et la lettre G », Études Traditionnelles, mai-juin, et juillet-octobre 1967 ; Jacques Thomas, Ce G, que désigne-t-il ?, 2001, et le compte rendu de ce livre dans Science sacrée, nos 1-2, 2001.)

 

29. « Comme l’assertion en question s’est rencontrée, en premier lieu, dans une interview parue il y a assez longtemps déjà dans l’Intransigeant » (Le Voile ...

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La suite de cet article est contenue

dans l'édition imprimée du numéro 6

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