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NOTES

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1. Tara Michaël, « Un rattachement à la tradition hindoue est-il possible pour un Occidental dans le domaine du Yoga à présent ? », Vers la tradition, n°151, Mars-Avril-Mai 2018, p. 65.

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2. Cf. René Guénon, « Salut et Délivrance », É. T., janvier-février 1950.

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3. Cf. Le Règne de la Quantité et les Signes des Temps, ch. VII, « L’uniformité contre l’Unité » : La conséquence de l’uniformisation, « paradoxale en apparence seulement, c’est que le monde est d’autant moins “unifié”, au sens réel de ce mot, qu’il devient ainsi plus uniformisé ; cela est tout naturel au fond, puisque le sens où il est entraîné est, comme nous l’avons déjà dit, celui où la “séparativité” va en s’accentuant de plus en plus ; mais nous voyons apparaître ici le caractère «parodique» qui se rencontre si souvent dans tout ce qui est spécifiquement moderne. En effet, tout en allant directement à l’encontre de la véritable unité, puisqu’elle tend à réaliser ce qui en est le plus éloigné, cette uniformisation en présente comme une sorte de caricature, et cela en raison du rapport analogique par lequel, comme nous l’avons indiqué dès le début, l’unité elle-même se reflète inversement dans les “unités” qui constituent la quantité pure. »

 

4. Pour devenir membre d’Auroville, il faut faire ses preuves pendant un an et avoir les fonds nécessaires pour y vivre au moins durant cette période sans être rémunéré pour son travail. Le nouvel arrivant doit pourvoir aux frais de location, puis de construction de son logement s’il est accepté à résider. Tous les biens immobiliers (terrains, maisons, puits) sont la propriété de la fondation Auroville, la propriété privée est interdite. Pour devenir l’occupant d’une maison existante, il faut faire don à la fondation du montant équivalent à la valeur de la maison. Pour bâtir une maison et en devenir l’occupant, il faut également faire un don à la fondation.

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5. Les Auroviliens, animés à leur début par une forme de puritanisme parodique, décrétèrent qu’il ne devait y avoir ni mariage ni relations sexuelles à Auroville. Ils furent fort embarrassés lorsque, malgré cette interdiction, des enfants commencèrent à naître… On décida alors que ces enfants n’auraient ni père ni mère individuels, et qu’ils appartiendraient à toute la communauté ! (voir notamment le témoignage de Tara Michaël, op. cit., p. 67).

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6. ...

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