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Vers la Tradition numéro hors-série décembre 2016

La fonction de l’Islam et le sort de l’Occident

Réponse à  

« L’idée que l’Islam doit dominer la planète »,
de M. Jean-Louis Gabin

Vers la Tradition,

numéro hors-série décembre 2016

NOTES

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1. Orient et Occident, II, ch. 3, p. 171. 

 

2. J.-F. Houberdon, La doctrine islamique des états multiples de l’être (Albouraq, mai 2017). 

 

3. Notamment A. Del Valle, Le Totalitarisme islamiste à l’assaut des démocraties (Éd. des Syrtes, 2002), et M. Houellebecq, Soumission (Gallimard, 2015).

 

4. La Crise du Monde moderne, ch. 2, p. 41. 

 

5. Orient et Occident, « Conclusion », p. 227, et La Crise du Monde moderne, ch. 8, p. 115.

 

6. La Crise du Monde moderne, ch. 2 et 9, pp. 36 et 128.

 

7. Citations respectivement extraites de La Crise du Monde moderne, ch. 2 p. 38, Orient et Occident, II, ch. 4 p. 200 et 2, p. 165, et « Avant-propos » de L’Homme et son devenir.

 

8. Orient et Occident, II, ch. 4, pp. 202 et 199, passages respectivement repris dans le texte pp. 52 et 48.

 

9. La Crise du Monde moderne, ch. 2, p. 41, et Orient et Occident, II, ch. 4 p. 201.

 

10. Orient et Occident, ibid. p. 199 et 201. Outre ces références, cf. également la conclusion de l’Introduction générale à l’étude des doctrines hindoues et certains chapitres du Règne de la Quantité, ainsi que les textes fondamentaux de M. Vâlsan sur ces questions, à savoir « La fonction de René Guénon et le sort de l’Occident » et « L’Islam et la fonction de René Guénon » ; notre pagination se réfèrera, pour le premier, à É. T. nos 293-294, et pour le second, à L’Islam et la fonction de René Guénon (Paris, 1984). Ces articles ont été repris dernièrement dans une publication de Science sacrée également intitulée L’Islam et la fonction de René Guénon (2016).

 

11. Lettre à R. Maridort (29 avril 1933).

 

12. Lettre à G. Pistoni (24 juillet 1949).

 

13. Citation partielle de l’auteur (p. 42) rapportée d’une lettre de Guénon à L. Caudron (27 juin 1936).

 

14. Lettre précitée à G. Pistoni (24 juil 1949).

 

15. Matthieu, 16, 18, cité en note dans  « La “pierre angulaire” », Symboles fondamentaux, ch. 43, p. 278.

 

16. Matthieu, 28, 20, cité en note dans La Crise du Monde moderne, ch. 5, p. 77.

 

17. Selon les termes employés par M. Vâlsan (« La fonction de René Guénon et le sort de l’Occident »,  p. 247)

 

18. Conformément au sens propre du mot « catholique ».

 

19. Citations extraites des Aperçus sur l’Initiation, ch. 29, p. 195-196 (« “Opératif” et “spéculatif” »), et Études sur la Franc-Maçonnerie, II, p. 40 (« Parole perdue et mots substitués »). Cette position sera toutefois nuancée, quelques années plus tard, avec l’apparition de nouvelles possibilités du côté maçonnique, entre autres par la création de la Loge de « La Grande Triade » en avril 1947.

 

20. Selon une lettre de R. Guénon à A. Daniélou du 27 août 1947 citée par l’auteur (p. 14); mais on peut aussi se référer à ce sujet à un texte plus connu, comme : « À propos de conversions » (sept. 1948), qui constitue le ch. 12 d’Initiation et réalisation spirituelle. Cf. également S. Ibranoff,  « Études critiques », Cahiers de l’Unité, n° 1, « Recueil annuel 2016 », p. 80.

 

21. Lettre à L. Caudron (23 sept. 1938).

 

22. Il s’agit de la lettre adressée à L. Caudron citée en référence dans la  n. 13. Dans ces deux dernières citations, on n’oubliera pas de tenir compte de la nuance signalée supra en n. 19.

 

23. Passage rapporté par l’auteur p. 14 de la lettre précitée à A. Daniélou (27 août 1947).

 

24. Lettre à G. di Giorgio (8 mars 1948). 

 

25. Orient et Occident, II, ch. 4, pp. 203 et 204, citations en partie reprises par M. Gabin, pp. 44 et 52.

 

26. Ibid. p. 162, fin de cette citation que M. Gabin oublie en revanche de rappeler.

          

27. Lettre à F. Schuon (5 juin 1931).

 

28. Selon une citation d’Orient et Occident, II, ch. 4, pp. 204-205.

 

29. Ibid.

 

30. M. Gabin mentionne son propre rattachement initiatique à la tradition hindoue (p. 92), sans toutefois donner de précisions à ce sujet, et on ne peut savoir s’il ne s’agirait pas seulement d’une simple consécration qu’il aurait reçue.

 

31. Sur ce point question, cf. infra, et 2° partie de notre réponse.

 

32. Orient et Occident, II, ch. 4, p. 204.

 

33. Ibid., p. 205-206.

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34. Selon l’expression de F. Schuon, « La dialectique orientale et son enracinement dans la foi », dans Logique et transcendance (Paris, 1972).

 

35. Orient et Occident, II, ch. 4, p. 205.

 

36. Études sur l’Hindouisme, « Le cinquième Vêda », et « Tantrisme et magie ».

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37. La Crise du Monde moderne, ch. 2, p. 36.

 

38. Orient et Occident, II, ch. 4, p. 201.

 

39. La Voie du petit musulman, Éd. Essalam/Safir, 1997.

 

40. Citations respectives de lettres à L. Caudron (9  mars 1936) et M. Clavelle (24 oct. 1935). Cf. également son compte rendu du livre de Goldziher : Le Dogme et la Loi de l’Islam (Revue de Philosophie, sept-oct. 1921), au sujet de « la secte moderne des Wahhâbites ».

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41. « Le Soufisme », dans Articles et Comptes rendus, p. 50, passage similaire dans « L’ésotérisme islamique », Aperçus sur l’ésotérisme islamique, p. 20.

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42. Nous nous référons avant tout aux trois articles constituant la base de son enseignement en la matière, à savoir « La fonction de René Guénon et le sort de l’Occident », « L’Islam et la fonction de René Guénon », et « Un symbole idéographique de l’Homme universel » suivi du « Triangle de l’Androgyne et le monosyllabe “Om” », articles inclus dans L’Islam et la fonction de René Guénon, op. cit.

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43. « L’Islam et la fonction de René Guénon », p. 33.

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44. Cette expression, dont l’auteur ne donne pas la référence, se trouve dans le ch. 7 des Aperçus sur l’initiation.

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45. « Sayful-Islam », ch. 27 des Symboles fondamentaux de la Science sacrée.

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46. Il s’agit plus spécialement du Coran et de la Sirah, la vie du Prophète.

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47. Orient et Occident, p. 202.

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48. Ibid. pp. 195 et 166.

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49. Genèse, 17,11-12.

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50. Cf. Marc Brion, « Le secret des “Cinq Makâras” », note 22, Cahiers de l’Unité, n° 3, 2016.

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51. Lettre à R. Maridort (9 oct. 1950).

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52. Sur la nature du rite en général, cf. entre autres Aperçus sur l’Initiation, ch. 15 à 19, et 25 ; pour les rites islamiques « interprétés et pratiqués dans une perspective proprement initiatique et contemplative », cf. M. Vâlsan, « Une instruction sur les rites fondamentaux de l’Islam » (Études Traditionnelles n° 369).

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53. Symboles fondamentaux de la Science sacrée, ch. 15 et 45.

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54. Notamment « Les derniers hauts grades de l’Écossisme », É.T. nos 308-310, et « L’investiture du Cheikh el-Akbar au Centre suprême », É.T. n° 311.

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55. M. Chodkiewicz, Le Sceau des Saints (Paris, 1986), et A. Penot, Les Révélations de La Mecque, « Introduction à la hiérarchie et aux catégories initiatiques ».

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56. L’Homme et son devenir, ch. 22, 23 et 24, et Le Symbolisme de la Croix, ch. 2 et 3.

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57. Tarjumân al-Ashwâq, trad. M. Gloton, L’interprète des désirs, Poème 11, p. 117, Paris, 1996.

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58. Tome I, Poème 11, pp. 65-66, trad. M. Max Giraud, Albouraq, 2011.

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Exorde du Jardin des roses

Exorde du Jardin des roses

(Gulistân) de Saadi : « Une nuit, je me rappelai la mémoire des jours que j’avais passés. Je vis combien j’avais perdu de moments, et j’en fus affligé, et je versai des larmes, et à mesure que mes larmes coulaient, il me sembla que la dureté de mon cœur s’amollissait, et j’écrivis ces vers, qui convenaient à ma condition.

« À chaque instant une partie de moi-même s’envole. Hélas ! qu’il m’en est peu resté ! Malheureux, tu as cinquante ans, et tu dors encore ! Éveille-toi ; la nature t’a imposé une tâche ; t’en iras-tu sans l’avoir faite ? »

Exorde du Jardin des roses

Exorde du Jardin des roses

(Gulistân) de Saadi : « Une nuit, je me rappelai la mémoire des jours que j’avais passés. Je vis combien j’avais perdu de moments, et j’en fus affligé, et je versai des larmes, et à mesure que mes larmes coulaient, il me sembla que la dureté de mon cœur s’amollissait, et j’écrivis ces vers, qui convenaient à ma condition.

« À chaque instant une partie de moi-même s’envole. Hélas ! qu’il m’en est peu resté ! Malheureux, tu as cinquante ans, et tu dors encore ! Éveille-toi ; la nature t’a imposé une tâche ; t’en iras-tu sans l’avoir faite ? »

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